Espace immersif, Pimp my period-room

Musée des Arts décoratifs Paris

mai 2016

Ce dispositif immersif a été imaginé lors de la 3e édition de Muséomix. Il permet à chacun de décorer à sa guise la salle consacrée à Louis Majorelle avec d’autres œuvres des collections, au premier rang desquelles papiers peints, les textiles et les objets des collections.

PIMP MY PERIOD ROOM on Vimeo

A l’aide d’un écran tactile de 32", le visiteur choisit de recréer le décor et de projeter sa vision sur les murs de la salle, jouant de la chronologie et mettant ses goût à l’épreuve des collections.

Scénario utilisateur Le visiteur rentre dans la salle Louis Majorelle - Art Nouveau, intrigué par le piano et l’escalier imposants il s’approche des meubles.

Via une table tactile sur laquelle se trouve l’image de la salle . Il est invité à « pimper » la salle avec des images qui apparaissent en bas de l’écran.

Il a le choix entre des « revêtements muraux » ou des « œuvres à accrocher au mur » qu’il peut glisser, redimensionner comme il le souhaite. Il peut ensuite appuyer sur « Effacer » pour rétablir la salle dans son état originel. Chaque manipulation sur la table tactile est immédiatement projetée sur les murs via un mapping en 3D, le visiteur voit le résultat de ses manipulations en live.

Objectifs Avant tout l’envie de bousculer la notion de period-room par de l’interactivité tout de permetant au public de découvrir la collection de papiers peint conservé au musée des arts décoratif.

Le dispositif permet également réaliser un fantasme de beaucoup de visiteurs, lui permettre de personnaliser , « pimper » pour ainsi s’approprier les salles du musée et ses œuvres d’art.

REMERCIEMENTS
Emmanuel Rouillier : design interactif, UI et UX Design
Arnaud Waels : développeur multi touch
Colin Bouvry : codeur créatif
Claire Mouret : design mobilier
Jean Tholance, Laurent-Sully Jaulmes, Cyrille Bernard : photographies des œuvres
Philippe Chaouche : fabrication mobilier
Et toute l’équipe du musée

Ce projet été réalisé avec le soutien de la Fondation Bettencourt Schueller.